27 Décembre 2016
En 1970, la division Buick crée une édition spéciale de son modèle GS en ajoutant une toute petite lettre à la fin, soit X.
Cette dernière fait toute la différence dans le cas de cette voiture, car seulement 678 modèles ont eu le privilège de l’arborer cette année-là.
C’est ainsi qu’en 1970, un V8 de 455 pouces cubes réussit à se frayer un chemin sous le capot de la GS. Ce dernier livrait une puissance de 350 chevaux et 510 livres-pieds de couple.
De plus, l’option Stage I était offerte et celle-ci livrait encore plus de puissance. Une Buick GS Stage I était capable de franchir le 0-100 km/h en 6.5 secondes.
Mais ce n’était pas assez. Au milieu de l’année 1970, la variante GSX voyait le jour. Toujours équipée de la même mécanique, la GSX recevait en plus un aileron arrière, des rainures noires sur le capot et toutes les options de performances possibles.
On note tachymètre sur le capot, des freins à disques à l’avant, une boîte manuelle Hurst à quatre rapports, des sièges baquets, une suspension sport et des pneus de plus large dimension, entre autres.
Le modèle GSX n’était offert qu’en deux couleurs en 1970, soit jaune saturn (491 modèles) et blanc appolo (178 unités). Une palette de couleur plus importante sera offerte dès 1971.
En 1971, les réglementations poussent GM à rendre ses moteurs compatibles avec les carburants à plus faible indice d’octane.
La puissance sur le GSX 455 Stage 1 redescend de 350 à 345 chevaux. C’est bientôt la fin des big-block avec la première crise du pétrole.